samedi 14 novembre 2009

Pourquoi ne m'é"crit-elle pas ?

Je lui envoie très régulièrement des mails. je tends l main. Si elle disait qu'elle ne veut plus me parler, que je l'ai vexé.. Mais rien. Rien.

Cela fait deux ans. En fait elle répond, très longtemps après, et comme en coup de vent.

Si je veux un jour faire de la peine à quelqu'un, je fais pareil.

vendredi 13 novembre 2009


A lire.


JMM trash

Blaireau bourré

Veste officier ou pas ?

Excellent pour le moral, j'ai adoré le style !
Il ne s'agit pas de la même personne, mais je m'en veux d'avoir attendu totue l'après midi un mail d'une personne.

je crois toujours que les gens vont partager mes enthousiasmes.

Erreur.

Je dois les laisser venir à moi. S'ils viennent, c'est qu'ils sont intéressés. Si je leur cours derrière, c'est moins bien. Et puis je n'aime pas.

dimanche 25 octobre 2009

Vu sur le Post.

, on se demande si Keanu Reeves est immortel..... (Le journal de Fanette, sur le Post).

Lu chez Lea. Et là aussi.

Il est vrai que la jeunesse de ce très bel homme est troublante... Quel métabolisme !! Ou a-t-il un truc pour sa peau ?

La video est très marrante, en tout cas.

Pouffons donc ensemble !!!

lundi 12 octobre 2009

Je ne sais si j'aurais le courage et la patience de tout relater régulièrement.

Pour l'heure, des années ont passées et là j'ai reçu d'elle un mail plein d'oction, onction est le mot, par rapport à des évènements familiaux.

Nous nous sommes fortement éloignées et je cherche à garder le contact avec elle sans "revenir" vers elle, d'abord parce que je ne veux pas "revenir", je ne veux pas avoir trop de cotnact avec elle, la voir trop régulièrement, comme avant. Mais ses liens avec ma famille m'obligent à ne pas tout à fait rompre avec elle. Si je le fais, je serais très sévèrement jugée et je ne veux pas.

Mes tentatives de relations sociales, rares mais courtoises, sont difficiles avec elle ; elle est occupée et fantasque.

mardi 6 octobre 2009

Du coup, je m'expliquai cette allure étrange, ce visage blond et mystérieux. Elle était slave, venait d'une région d'Europe centrale que j'oubliai tout de suite car cela me sembla imprononçable, et parlait à peine notre langue. je fus ravie. Quelle exotisme ! Je lui proposai de venir chez moi, de travailler avec moi, elle hésita : elle logeait chez des gens et devait d'abord avoir leur accord.

dimanche 4 octobre 2009

Nous nous vîmes pour la troisième fois devant le collège.

Un soir, alors que je me rendais au collège, juste en arrivant devant les portes, je la vis, et à nouveau nos regards se croisèrent. Le sien était indéchiffrable. Elle semblait attendre.

Je me dirigeai vers elle, décidée à la saluer et à lui expliquer que le hasard nous avait fait nous rencontrer trois fois, et que je m'excusai de la regarder ainsi, sous le nez, avec insistance.

Quand j'avançai vers elle, son visage s'éclaira légèrement. Je lui adressai la parole, et elle me répondit d'une voix hésitante, dans un français maladroit : elle n'était pas française et venait d'arriver.

jeudi 1 octobre 2009

Quelques jours plus tard, je croisai la fille dans la rue, et il me sembla qu'elle venait du collège, mais je n'en étais pas sûre, car elle se trouvait à quelque distance de celui-ci. De plus, je ne savais pas si c'était la même fille, je la suivais de dos, elle semblait avoir la même attitude élégante (mais elle marchait alors que je ne 'lavais vue qu'immobile dans le couloir) et ses cheveux avaient la même nuance.

Pour en être sûre, je traversai la route, accélérai ma marche, la doublai et me retournai pour observer son visage. Au moment où je me retournai, elle me regarda : c'était elle. Je rougis de mon attitude, tournai la tête pour regarder droit devant moi et continuai mon chemin.

lundi 28 septembre 2009

Voici comment nous nous sommes rencontrées.

J'avais changé de collège l'année précédente et je revenais parfois dans mon ancien collège pour y voir des amis et participer avec eux au journal du collège. Vers le mois de mars, le rythme de mes visites au collège s'intensifia.

Mes amis réalisaient le journal du collège près du secrétariat. Nous avions le droit d'utiliser une imprimante et une photocopieuse, la première dans une petite pièce attenante au secrétariat, la seconde dans un recoin de ce même secrétariat.

Pour aller au secrétariat, il nous fallait donc passer dans la partie interdite du collège, celle des bureaux. Nous y croisions toutes sortes de personnes, surtout des parents. Nous ne nous intéressions pas trop à eux, mais nous étions (moi en tout cas ) fier de notre droit spécial à accéder à ces zones normalement interdites.

Un jour, dans le couloir, je croisais une famille : une jeune fille grande, blonde, aux traits réguliers, parfait, saisissant de régularité et de douceur. Et ses parents, deux êtres incroyablement falots et ternes. Tout en passant très vite, je notai la différence entre les deux groupes, celui des parents, gris et incolores, et la fille, belle et lumineuse. Ils attendaient pour être reçus par le directeur. C'est tout. J'entrai dans le secrétariat.